Une file d’attente sur le toit du monde : à plus de 8 000 mètres, une foule d’alpinistes patiente en file indienne pour atteindre le sommet de l’Everest, entre le Népal et la Chine. En cause, la météo difficile, qui ne rend l’ascension possible que quelques jours dans l’année et donne lieu à ce tourisme de masse. Mais aussi le fait que de plus en plus de permis d’ascension soient délivrés. Cette année, au printemps, le Népal en a décerné 521, un record.
De nombreux alpinistes ne survivent pas à l’Everest
Mais tous ces alpinistes n’ont pas survécu à l’Everest. Cette semaine, 10 d’entre eux sont décédés sur les parois, y compris des membres aguerris. Mais au-delà de 8 000 mètres d’altitude, les alpinistes passent un cap crucial, où l’oxygène se fait rare, d’autant plus en cas de surfréquentation. Mais l’Everest continue de fasciner malgré ses dangers. Il y a quelques jours, Élisabeth Revol est devenue la première Française à réussir son ascension sans oxygène, un an et demi après son sauvetage hors normes dans l’Himalaya.
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