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« La première approche c’est d’essayer de faire des vêtements beaux et durables qu’on aurait envie de porter plus de dix fois, parce que je crois qu’un vêtement est porté dix fois en moyenne », explique Marie Larabelle au micro de franceinfo.
« En moyenne, 15% des tissus produits dans le monde finissent directement en décharge. Un tissu de forme rectangulaire produit beaucoup de chutes, or le corps est de forme courbe », assure cette créatrice de mode. « J’essaie de m’approcher du zéro déchet avec des techniques qui vont générer des nouvelles formes et des nouveaux design ».
Pollution de l’eau
« Depuis le début du XXe siècle, ce sont essentiellement des teintures chimiques qui sont employées et qui polluent les rivières », note-t-elle. 500 000 tonnes de microplastiques sont déversées chaque année dans l’océan. Dans une machine à laver le linge, « les fibres synthétiques lâchent des microparticules qui sont trop petites pour être traitées par les stations d’épuration et finissent dans les océans », précise-t-elle.
Les solutions de Marie Larabelle : acheter des vêtements « en coton, en chanvre, en lin, en ramie » ou encore acheter des vêtements « de seconde main ».
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