« Ce sont des données des opérateurs téléphoniques que les autorités de Corée du Sud utilisent pour faire le traçage de la population. Il y a une législation sur la protection des données personnelles qui est relativement stricte. Elles sont stockés à l’extérieur de l’État et sont vouées à être détruites après l’épidémie de coronavirus », explique Mickael Mas, dirigeant de la start-up Symaps.io.
« Plus de monde dans les magasins qu’avant l’épidémie »
« Cette politique a été acceptée par les Coréens qui la juge massivement justifiée. Les résultats prouvent que c’est efficace, mais les gens n’accepteront pas d’être tracés sans raison. C’est temporaire, c’est une mesure d’urgence exceptionnelle », insiste l’entrepreneur mercredi 13 mai sur franceinfo.
En analysant les données de ses clients sud-coréens, il constate que « les gens se rendent beaucoup plus dans les magasins maintenant qu’avant l’épidémie. Les seuls lieux qu’ils évitent encore sont les magasins situés dans les lieux très fréquentés comme…
En savoir plus sur Info Asie
Subscribe to get the latest posts sent to your email.