En fermant sa dernière centrale thermique au charbon, Pékin espère tourner la page de la pollution aux microparticules. Mais le taux de pollution deux jours après la fermeture, dix fois supérieur aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, montre que contrôler la pollution est plus complexe qu’il y paraît.
Dès 2013, la municipalité a annoncé le remplacement progressif des quatre vieilles chaudières au charbon par des unités à…
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