Sous la présidence de Kassym-Jomart Tokaïev, le Kazakhstan poursuit son ouverture à petits pas : le pays a aboli, samedi 2 janvier, la peine de mort alors qu’un moratoire sur les exécutions y était en vigueur depuis près de vingt ans.
Une avancée colossale dans ce pays qui ne connaît encore aucune opposition politique. Le chef d’Etat a fait savoir dans une notice publiée sur le site officiel du Kazakhstan qu’il avait ratifié le deuxième protocole facultatif se rapportant au pacte international relatif aux droits civils et politiques, adopté en 1966 par l’Assemblée générale des Nations unies. Déjà ratifié l’année dernière par le Parlement kazakh, ce texte oblige les signataires à abolir la peine capitale à l’intérieur de leurs frontières.
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