C’est une vague de colère qui traverse quotidiennement la Birmanie depuis le coup d’Etat du 1er février. Vendredi 26 février, des centaines de manifestants marchaient encore dans les rues de Rangoun pour exiger le retour de la démocratie et la libération d’Aung San Suu Kyi.
Nouveauté : jusqu’ici épargnée par l’usage de la force, contrairement à d’autres villes du pays, la capitale économique, Rangoun, a été le théâtre d’un déploiement massif de la police antiémeute, qui n’a pas hésité à aller au contact des manifestants. Ces derniers, scandant des slogans prodémocratie assis, ont été sommés de se disperser.
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