Actuellement jugée pour une série de motifs et risquant plus de dix ans en prison, Aung San Suu Kyi, chef du gouvernement civil birman renversée par la junte en février, va devoir répondre de quatre autres chefs d’accusation pour corruption, a déclaré aux journalistes, mardi 13 juillet, son avocat. La junte militaire au pouvoir en Birmanie a lancé de nouvelles poursuites à l’encontre de la dirigeante.
Assignée à résidence, Aung San Suu Kyi, âgée de 76 ans, est déjà inculpée pour sédition, pour avoir violé une loi sur les secrets d’Etat datant de l’époque coloniale, et pour corruption, accusée d’avoir perçu plus d’un demi-million de dollars et une dizaine de kilos d’or de pots-de-vin.
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