Kem Sokha, l’ancien défenseur des droits de l’homme et chef de file de l’opposition politique au Cambodge, a été condamné, vendredi 3 mars, par un tribunal aux ordres, à vingt-sept ans de prison pour « trahison et conspiration au profit d’une puissance étrangère » – en l’occurrence les Etats-Unis, même s’ils n’ont pas été directement nommés.
Le tribunal municipal de Phnom Penh a toutefois permis au politicien de 69 ans de bénéficier d’une assignation à résidence, sans permis de visite autre que familiale, le temps que durera son appel.
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