Le coton, c’est doux, chaleureux, naturel… Cette matière première présente partout dans notre quotidien est devenue l’un des produits les plus utilisés de la planète. Et son business affiche aujourd’hui un chiffre d’affaires mondial de 37 milliards d’euros par an. Pour ce nouveau numéro, le magazine « Cash Investigation » (Facebook, Twitter, #@cashinvestigati) est parti sur les routes du coton, en Asie centrale, au Bangladesh, en Inde… pour enquêter et mettre au jour la face sombre de cet or blanc.
L’équipe du magazine présenté par Elise Lucet a notamment remonté la chaîne d’approvisionnement des tee-shirts jusqu’en Ouzbékistan, l’un des plus gros producteurs dans le monde. Un régime autoritaire très secret qui envoie tous les ans un million de personnes dans les champs au moment de la récolte. La piste de ce coton est suivie jusqu’aux filatures du Bangladesh, où des ouvrières, souvent très jeunes, vivent et travaillent dans les usines, comme des prisonnières ! Et de grandes enseignes françaises semblent fermer les yeux…
Un nouveau label plus équitable ?
A découvrir également, un nouveau label qui promet un coton plus équitable et plus respectueux de l’environnement. Celui-là, les grandes marques l’adorent. Pourtant, derrière le marketing, aucune garantie de traçabilité. Plus grave encore, il est en train de mettre en péril la filière du coton bio, qui propose vraiment un coton sans pesticides, non agressif pour la planète.
Des champs de coton jusqu’aux armoires, c’est la longue et parfois noire saga du coton. « Cash Investigation » vous révèle ce qui…