Apparition de comités citoyens anti-junte, manifestations toujours massives, résolution à l’ONU… alors que les arrestations d’opposants se multiplient en Birmanie, la pression augmente sur les militaires au pouvoir depuis le coup d’Etat du 1er février, afin d’obtenir un retour rapide à la démocratie et la libération d’Aung San Suu Kyi.
Samedi 13 février, de nouvelles manifestations, enclenchées dès le matin, ont commencé à réunir plusieurs dizaines de milliers de personnes en début d’après-midi.