Dans le cadre de sa campagne de désinformation mondiale, le Parti communiste chinois (PCC) a décidé de cibler directement le président américain Donald Trump en utilisant des termes tels que « pandémie de Trump ».
Les responsables chinois et les médias d’État ont déjà essayé de déplacer la responsabilité de la gestion déplorable du virus par le régime chinois, en avançant des théories de conspiration visant les États-Unis. Plusieurs grands médias du PCC, dont la plupart ont des versions anglaises de leurs sites web, attaquent maintenant de front Donald Trump.
Les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter, dont l’utilisation est interdite aux citoyens chinois dans l’État communiste, sont utilisées par les fonctionnaires et les entreprises médiatiques chinoises pour promouvoir la propagande du Parti. Au cours des derniers jours, Xinhua News, une agence de presse d’État, a fait la promotion des hashtags « #Trumpandemic » et « #TrumpVirus » dans ses articles sur ces deux plateformes.
Dans un article du 22 mars intitulé « Trump Pandemic rages » (la pandémie de Trump fait rage), le belliqueux journal chinois Global Times a attaqué la position du président américain face au virus du PCC* et a fait la promotion des hashtags anti-Trump, affirmant que Trump s’est maintenant « heurté à un mur de briques ».
Un commentateur basé à Pékin a déclaré au Global Times que l’expression « Trump pandemic » est « non seulement vivante mais aussi très précise ».
L’objectif de la campagne de désinformation de la Chine est de « détourner l’attention de ses propres actions et de ses propres échecs », selon Brendan Carr, commissaire de la Commission fédérale des communications (FCC).
« La Chine est engagée dans une campagne de propagande mondiale pour couvrir ses arrières », a déclaré M. Carr à Epoch Times. « Il y a une relation directe entre la nature brutale et oppressive du régime communiste et la diffusion mondiale du coronavirus. »
« Les principaux propagandistes du régime communiste déforment et retournent maintenant les paroles de tout un chacun pour essayer d’enlever le doigt pointé sur eux et de le pointer sur d’autres. »
Une étude du 13 mars a révélé que si la Chine était intervenue plus tôt avec des interventions non médicamenteuses (INM), la propagation du virus du PCC aurait pu être réduite de 95 %.
* Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus de virus du PCC parce que la dissimulation et la mauvaise gestion de l’épidémie par le Parti communiste chinois, qui a débuté dans la ville de Wuhan, au centre de la Chine, ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
Un article d’opinion du 23 mars publié dans le quotidien d’État China Daily affirmait que la pandémie est pire aux États-Unis qu’en Chine, et que « les jugements totalement erronés du président Trump ont conduit à une situation où l’intensité des cas de coronavirus est bien pire aux États-Unis qu’en Chine ».
Le PCC a affirmé qu’il n’y avait pas eu de nouveaux cas de virus ces dernières semaines. Une série de documents gouvernementaux internes obtenus par Epoch Times montre cependant que la situation dans la ville de Wuhan…
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